La petite ritournelle
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La petite ritournelle
Oh ! Tu m'avais dit avoir changé…
Oh ! Tu m'avais dit chercher la vérité…
J'apprend que tu voles tes amis, j'apprends que tu mens avec hardiesse, j'apprends que toujours tu parles de moi, la Sainte. Penses-tu que mon ombre couvre tout Cania pour te protéger ? Non moi je suis une femme tout simplement, je ne peux pas faire de miracle, je ne peux pas rendre pur ce qui, si souvent s'est oublié dans la crasse de l'opprobre. Tu voulais toujours être mon amie et puis, toujours cette ritournelle, tu parles de toi, tu parles de tes ennemis, tu parles des gens qui ont cru en toi et que tu as laissés derrière. Tu pleurniches de ce que tu es devenue ma fille et tu m'encourages à croire en toi alors que tu es si faible et si pâle. C'est toi qui devrait croire en toi, moi je ne crois qu'en ce que je vois et plus le temps passe plus tu disparais dans mon cœur.
Tu sais, je te voyais comme une fille un peu étrange, comme quelqu'un faisant partie de ma vie aussi… et puis parfois je me dis que tu m'utilises aussi, que tu te caches derrière moi…
Je suis triste de ce qui t'attend, même le danger ne te fait plus réagir.
Mais mon cœur n'est pas assez grand pour te protéger de toi-même.
Je t'aime beaucoup.
Mais tu me rends triste.
Moi aussi.
Alison
Oh ! Tu m'avais dit chercher la vérité…
J'apprend que tu voles tes amis, j'apprends que tu mens avec hardiesse, j'apprends que toujours tu parles de moi, la Sainte. Penses-tu que mon ombre couvre tout Cania pour te protéger ? Non moi je suis une femme tout simplement, je ne peux pas faire de miracle, je ne peux pas rendre pur ce qui, si souvent s'est oublié dans la crasse de l'opprobre. Tu voulais toujours être mon amie et puis, toujours cette ritournelle, tu parles de toi, tu parles de tes ennemis, tu parles des gens qui ont cru en toi et que tu as laissés derrière. Tu pleurniches de ce que tu es devenue ma fille et tu m'encourages à croire en toi alors que tu es si faible et si pâle. C'est toi qui devrait croire en toi, moi je ne crois qu'en ce que je vois et plus le temps passe plus tu disparais dans mon cœur.
Tu sais, je te voyais comme une fille un peu étrange, comme quelqu'un faisant partie de ma vie aussi… et puis parfois je me dis que tu m'utilises aussi, que tu te caches derrière moi…
Je suis triste de ce qui t'attend, même le danger ne te fait plus réagir.
Mais mon cœur n'est pas assez grand pour te protéger de toi-même.
Je t'aime beaucoup.
Mais tu me rends triste.
Moi aussi.
Alison
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